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Alors que la grève des pilotes entre dans sa deuxième semaine, les patrons de plusieurs compagnies régulières françaises ont publié une lettre ouverte, dans "Le Monde", où ils estiment notamment que "refuser par peur, conservatisme ou dogmatisme tout nouveau projet affaiblit le pavillon français".

Alors que la grève des pilotes entre dans sa deuxième semaine, les patrons de plusieurs compagnies régulières françaises ont publié une lettre ouverte, dans "Le Monde", où ils estiment notamment que "refuser par peur, conservatisme ou dogmatisme tout nouveau projet affaiblit le pavillon français".

Lentement mais sûrement, Michael O’Leary tisse sa toile dans le business travel. L’arrogant et extravagant patron de Ryanair sait parfaitement que la confiance est une arme. Derrière des propos parfois exagérés et outranciers, il tisse une nouvelle stratégie économique basée sur le look des avions, sa flotte et sa capacité à réagir, sans oublier son entrée - une vraie révolution pour la low cost - dans le GDS Amadeus. Un nouveau business modèle qui devrait séduire les entreprises.

Alors que les pilotes tentent de négocier avec leur direction le paiement de leurs jours de grève, "Marianne" révèle qu’Alexandre de Juniac, leur PDG, avant le conflit et donc toute négociation avec ses navigants, a constitué une nouvelle société aérienne profilée pour accompagner le développement de ses vols low cost : Transavia Company. Et qu'une holding Transavia Europe Aviation a été discrètement préenregistrée… au Portugal.

Alors qu’Air France fait actuellement face à une grève suivie par 60% de ses pilotes, la compagnie pourrait affronter prochainement un nouveau mouvement social, cette fois-ci de la part de son personnel navigant de cabine : les hôtesses et stewards sont tout autant insatisfaits du plan Perform 2020 du groupe Air France-KLM qui prévoit notamment une montée en puissance de Transavia, sa filiale low-cost.

"Alors qu'un préavis de grève représente toujours l'espoir d'un plan B, on se dirige vers un conflit majeur", anticipe Guillaume Schmid du Syndicat national des pilotes de ligne, mercredi 10 septembre. La direction d'Air France semble, elle aussi, se préparer à un mouvement très dur.

Un risque dû aux UV : Les résultats d'une méta-analyse de 19 études qui ont porté sur plus de 266.000 personnes au total indiquent que le risque de mélanome, un cancer de la peau fréquent, est plus de deux fois plus important pour les pilotes, hôtesses et stewards que pour des personnes lambda.

La filiale low cost du groupe, Transavia, devrait ouvrir ses premières bases hors France et Pays-Bas, à Porto, Lisbonne et Munich. Le projet suscite déjà des inquiétudes chez les personnels. C’est une demi-surprise, mais qui devrait faire du bruit. Selon des sources concordantes, Air France-KLM doit dévoiler jeudi soir, à l’issue du conseil d’administration, les premières bases européennes, hors de France et des Pays-Bas, de sa filiale low cost Transavia.

Alexandre de Juniac, le PDG d’Air France-KLM, avait déjà indiqué en juin son intention de développer Transavia sur d’autres marchés européens que la France et la Hollande. Mais la surprise du chef, qui n’en est pas vraiment une pour les principaux représentants du personnel mis dans la confidence, c’est que ces nouvelles bases européennes seront confiées à une nouvelle entité, Transavia Europe, différente des deux Transavia actuelles, française et hollandaise, et qui devrait progressivement chapeauter autant d’entités nationales que Transavia aura de bases. 

Selon La Tribune, Air France va présenter en conseil d'administration le projet de création de Transavia Europe, une low-cost paneuropéenne qui ouvrirait des bases d'exploitation dans plusieurs pays d'Europe avec du personnel local. Porto et Lisbonne ainsi qu'un aéroport allemand seraient les premières bases.

Des « Escherichia coli » et des staphylocoques dorés résistants survivent plusieurs jours en cabine. À coup sûr, les hypocondriaques contraints de prendre l'avion vont maudire le Dr Kiril Vaglenov et ses collègues de l'université d'Auburn, en Alabama. Les travaux qu'il a présentés à Boston (États-Unis) cette semaine, lors de la conférence annuelle de la société américaine de microbiologie, montrent que des bactéries résistantes sont capables de survivre plusieurs jours dans les avions. LIRE LA SUITE