Une équipe de chercheurs issus de plusieurs centres de recherche de San Diego a récemment découvert une molécule ayant un effet spectaculaire sur l'horloge biologique. Baptisée "longdaysin" (qui pourrait se traduire par "longuejournéeine"), cette molécule a la propriété de ralentir de façon significative l'horloge biologique de larves de poissons zèbres, provoquant une extension de 10 heures de leur rythme circadien. Cette découverte arrive peu après les résultats d'une étude menée à l'Université de Californie à Berkeley, montrant qu'il est néfaste de dérégler ce rythme.