Alors que le dossier SeaFrance est au point mort, le ministre des transports Thierry Mariani s'envole de nouveau vers la Chine vendredi. Mais quelle urgence peut donc le conduire à un tel déplacement? A son agenda officiel, une seule rencontre est annoncée, avec les ingénieurs de l'Ecole centrale de Pékin (liée à l'Ecole de Paris). Le sujet lui tient visiblement à cœur: le 17 septembre, déjà, il avait parcouru plus de 8000 kilomètres pour inaugurer, à Tianjin cette fois, les nouveaux locaux de l'institut sino-européen d'ingénierie de l'aviation, une école d'ingénieurs franco-chinoise. Etonnant, non?