Saisi de l'enquête, le commissariat d'Arpajon (Essonne) borne dès 15 heures le portable d'où est parti le coup de fil et identifie le nom de son titulaire. Il s'agit d'un Orléanais de 45 ans dont l'identité n'a pas été révélée. C'est ensuite le commissariat d'Orléans qui prend le relais. L'homme sera interpellé chez lui. Placé en garde à vue, il a rapidement reconnu qu'il s'agissait d'une très mauvaise inspiration. À l'issue de son audition, il a été remis en liberté.
Son répit risque pourtant d'être de courte durée car les deux compagnies aériennes, Air France et Corsair, s'apprètent à chiffrer le montant de leur préjudice...
Source : France3.fr - 27 décembre 2010